Quand la peur explique les maladies neurodégénératives

Il est donc important d’éprouver la peur, mais aussi que cette peur mène à une action. Seulement voilà, pour le moment, nous connaissons mal le fonctionnement précis de la peur dans le cerveau humain.
Des chercheurs de l’UNIL ont franchi une étape importante dans la compréhension de ce phénomène dans notre cerveau. On verra que cette découverte permet aussi de mieux comprendre certaines maladies comme Alzheimer. Une chronique proposée par Huma Khamis avec, comme invités Ron Stoop, professeur associé à la Faculté de biologie et de médecine de l'UNIL et chercheur au centre de neurosciences psychiatriques du CHUV, ainsi que Diego Scheggia, chercheur UNIL et chercheur au centre de neurosciences psychiatriques du CHUV.
Faculté de biologie et de médecine de l'UNIL

Il n’y a pas d’âge pour «muscler» son cerveau

Prendre soin de sa santé cérébrale
