Lʹexposome ou comment lʹenvironnement agit sur notre santé
Dernière mise à jour 15/05/19 | Audio
Loading the player ...
© iStock/torwai
Après le génome, voici lʹexposome.
Après avoir disséqué la part des gènes dans la survenue des maladies, il est temps de se pencher sur la part de lʹenvironnement. Cʹest un domaine éminemment complexe que certains chercheurs abordent avec de nouvelles techniques.
On en parle avec Bernard Jegou, directeur de lʹInstitut de recherche en santé, environnement et travail (Irset), rencontré à Rennes par Cécile Guérin. Avec Fabien Mercier, responsable recherche développement pour lʹanalyse des micropolluants organiques, et Jade Schaker, doctorante à lʹIrset.
L'Institut de recherche en santé, environnement et travail (Irset)
Une émission CQFD - RTS La Première
Articles sur le meme sujet
Vivre près d’un trafic routier intense favoriserait la démence
Une étude canadienne, qui a porté sur 6,5 millions de personnes pendant douze ans, fait le lien entre l’exposition aux polluants émis par les camions et voitures et les risques de développer un alzheimer.
La pollution de l’air augmente les maladies cardiaques et pulmonaires
La qualité de l’air que nous respirons a un impact majeur sur notre santé. Les mesures permettant de limiter les émissions polluantes ont prouvé leur utilité.
Les particules fines affectent l’ensemble de l’organisme
Si leur taux global a diminué depuis vingt ans, les particules fines n’en sont pas moins nocives pour la santé. Et plus elles sont petites, plus elles pénètrent profondément dans le corps jusque dans le sang.
Videos sur le meme sujet
Lʹair pollué corrélé avec des maladies auto-immunes et avec Alzheimer
Des scientifiques français et italiens pointent du doigt la pollution de lʹair dans des domaines de la santé inattendus.
Je vis en ville, est-ce mauvais pour mes poumons?
Poussières minuscules, les particules fines peuvent provoquer des problèmes pulmonaires et cardiaques. En vivant en ville, y sommes-nous plus exposés?
La pollution des eaux sous-estimée
En matière de pollution des cours d'eau, les pics de concentration de courte durée sont largement sous-estimés.