Ça n'a pas de science !... les probiotiques
Dernière mise à jour 05/04/21 | Audio
Loading the player ...
© iStock/TLFurrer
Il y a les opinions, les rumeurs, les modes et il y a la science.
"Ça n'a pas de science!" aborde les questions de société sous lʹangle scientifique. Quelles sont les études, les éventuelles preuves ou les doutes qui subsistent ? Un rendez-vous proposé par Adrien Zerbini.
Aujourdʹhui, gros plan sur les probiotiques qui soigneraient des problèmes de digestion, dʹintestin, mais aussi diabète ou dépression… Pour en parler, Jacques Schrenzel, chef du laboratoire de bactériologie et du laboratoire de génomique des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) et Eric Oswald directeur adjoint de lʹinstitut de recherche en santé digestive de Toulouse.
Mystificascience: du yogourt pour vivre jusqu'à 140 ans
Une émission CQFD - RTS La Première
Articles sur le meme sujet
Vous avez dit «phagothérapie»?
Sous le feu des projecteurs, même si elle reste expérimentale, la phagothérapie pourrait révolutionner la prise en charge des infections bactériennes résistantes aux antibiotiques.
Vaccin prometteur contre les infections urinaires
Développé par une start-up suisse et testé aux Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG), il pourrait limiter les résistances aux antibiotiques.
«Le choc septique est un véritable big-bang pour l’organisme»
Chef du service des maladies infectieuses du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), le professeur Thierry Calandra s’est intéressé aux sepsis, ces infections fulgurantes et souvent mortelles. Ses recherches lui ont valu de recevoir, en avril dernier, l’«Award for Excellence» décerné par la Société européenne de microbiologie et de maladies infectieuses.
Videos sur le meme sujet
Choléra - la situation sanitaire se dégrade fortement dans lʹOcéan indien
Le choléra fait un retour alarmant, particulièrement dans l'océan Indien où Mayotte et l'archipel des Comores sont confrontés à une flambée de cas.
Une bactérie contre les effets des additifs alimentaires
Une bactérie naturellement présente dans nos intestins pourrait neutraliser les effets néfastes des additifs alimentaires.
D'une écharde à de multiples greffes
Passer d'une écharde sous la peau à une table d'opération pour y subir une greffe de peau et risquer de perdre son bras, voire la vie.