Le Senior Lab: une plateforme de recherches dédiée à la qualité de vie des seniors
Dernière mise à jour 12/12/24 | Audio
Loading the player ...
©Getty/Jacob Wackerhausen
PARTENAIRES
Le Senior Lab est une plate-forme de recherches appliquées et dʹinnovations dédiées à la qualité de vie des seniors.
Il est issu de trois HES : la haute école de la santé la Source à Lausanne, la haute école dʹingénierie et de gestion du canton de Vaud à Yverdon-les-Bains et lʹECAL, lʹécole cantonale dʹarts de Lausanne. Il repose également sur une communauté de deux cents seniors.
Stéphane Délétroz a rencontré deux seniors et les membres du comité de pilotage.
En savoir plus
Bienvenue au senior-lab - Senior-Lab
Une émission CQFD - RTS La Première
Articles sur le meme sujet
La prévention est cruciale dans la maladie d’Alzheimer
La maladie d’Alzheimer est encore souvent perçue comme une fatalité. Pourtant, il existe différents facteurs sur lesquels influer pour réduire les risques de sa survenue ou retarder l’apparition des symptômes, y compris soigner sa vision!
Les maux et bobos des plus de 45 ans
À l’approche de la cinquantaine plusieurs troubles plus ou moins handicapants ou graves se manifestent. Tour d’horizon pour mieux appréhender cette étape de la vie.
La musique ralentit le vieillissement du cerveau
Moins de déclin cognitif, mémoire renforcée, audition plus performante et meilleure habileté manuelle font partie des avantages constatés chez des seniors qui se sont mis à la pratique musicale. Explications.
Videos sur le meme sujet
36.9_La technomédecine à lʹassaut du vieillissement
Repousser les effets de lʹâge et allonger la vie en bonne santé : un rêve que la technomédecine ambitionne de réaliser.
La technomédecine à l'assaut du vieillissement
Enquête sur cette science qui rêve de contrôler le processus de vieillissement pour le freiner, allonger l’espérance de vie, éviter la souffrance, les maladies du grand âge et vivre bien plus longtemps en forme.
Micro sciences: Pourquoi les hommes deviennent-ils chauves et mous?
Huma Khamis a cherché des réponses scientifiques à cette question indiscrète auprès de Georgios Papadakis, endocrinologue au Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV), à Lausanne.